Troubles hydro-électrolytiques
Une synthèse sur l'hyponatrémie a été publiée par Adrogué et Madias dans le JAMA. On va juste compléter le billet précédent
sur le sujet. La figure rappelle plus précisément comment diagnostiquer
les causes de l'hyponatrémie. Rappelons une fois encore les causes
iatrogènes: les diurétiques, les tricycliques, les neuroleptiques, les
immunosuppresseurs, les corticoïdes, les AINS, la desmopressine,
l'oxytocine, les IEC, les IRS et IRSNA, la nicotine, l'héroïne, la
cocaïne, et l'extasy. Le traitement consiste généralement dans l'arrêt
du médicament incriminé. L'hospitalisation est requise pour des
hyponatrémies inférieures à 120mmol/L (au dessus, ça peut être en
ambulatoire).
Un article du NEJM aborde
le SIADH. Le diagnostic est posé devant une hyponatrémie (na < 130),
euvolémique hypotonique (Natriurèse > 30mmol/L et osmolalité
urinaire > 100 mOsm/kg
d'eau). Il est également nécessaire d'exclure une hypothyroïdie et une
insuffisance surrénalienne. Les principales causes sont des cancers, des
médicaments (AINS, IRS, neuroleptiques, opioïdes, desmopressine,
chimiothérapies...) et les troubles respiratoires. En l'absence
d'hyponatrémie sévère (troubles de conscience, vomissements, cause
intracranienne..) et si Na > 120, un traitement ambulatoire peut être
proposé. En 1er lieu, la restriction hydrique à 1,5L/j voire 1L/j
associé à un arrêt des traitements impliqués et un traitement de la
cause si connue est à entreprendre. Si c'est insuffisant, il est
possible d'associer du chlorure de sodium (2 à 5g/j) et du furosémide à
20mg x2/j, en surveillant la kaliémie, la fonction rénale et les
hypotensions. En cas d'inefficacité, d'autres traitements sont
envisageables par les spécialistes (tolvaptan, urée, voire empagliflozine).
Le blog Perruche en Automne en a parlé souvent: boire "plus" n'est pas utile pour les reins. Cette fois ci, une étude confirmé l'absence d'association entre les apports hydriques et la mortalité globale. Cependant, la mortalité cardiovasculaire était associée aux apports hydriques: plus on boit d'eau, moins on a de problèmes cardiovasculaires. Quand on regarde les figures, ce n'est pas si évident que ça, car le modèle n'est pas linéaire, et s'il y a un bénéfice, c'est probablement aux alentours de 6 verres par jour (soit 1,5L).
Le JAMA publie
un article sur l'hypercalcémie. Les 2 principales causes sont
l'hyperparathyroïdie primitive et les
néoplasies, puis on trouve la iatrogénie (thiazidiques, calcium,
vitamine D, vitamine A...) et les autres causes (sarcoïdose,
phéochromocytome, acromécalie...) . L'hypercalcémie modérée est définie
comme une hypercalcémie inférieure à 3.0mmol/L, et est généralement
asymptomatique (éventuellement constipation ou fatigue). La calcémie
corrigée par l'albumine est généralement suffisante pour une évaluation
du calcium, mais un dosage du calcium ionisé peut être nécessaire en cas
d'insuffisance rénale ou de trouble acido-basique). Le dosage de la PTH
permettra généralement d'orienter vers une cause. Le traitement (en
dehors de l'urgence de l'hypercalcémie sévère) et généralement
étiologique (chirurgical si HPTP). Des bisphosphonates peuvent être
proposés pour un traitement symptomatique.
Maladie rénale chronique
2024: Les recommandations du KDIGO sur la maladie rénale chronique 2024 ont été publiées. Les auteurs recommande d'utiliser la créatininémie et le rapport albuminurie/créat pour dépister les patients à risque de MRC, mais si la cystatine-C est disponible, il faut mieux évaluer le DFG avec, en plus du DFG estimé par créatininémie. Un point intéressant est qu'ils recommandent d'éviter l'utilisation de la race dans les équations. Chez les patients avec un DFG <60ml/min, l'utilisation d'un score d'évaluation du risque absolu d'insuffisance rénale est recommandé (type KFRE). Un score entre 3% et 5% à 5 ans peut indiquer un avis néphrologique. Un score > 10% nécessite une prise en charge en équipe pluridisciplinaire et > 40% préparer la dialyse ou la transplantation. Les auteurs recommandent un iSGLT2 en cas de diabète et à poursuivre même si DFG < 20ml/min, mais interrompre en cas de situations aiguës à risque d'acédocétose. Les iSGLT2 sont également recommandé en l'absence de diabète si insuffisance cardiaque ou RAC ≥200 mg/g (≥20 mg/mmol) (1A) ou si DFG < 45ml/min avec RAC normal (2B). Les hypo-uricémiants ne sont pas indiqués en l'absence de symptômes. Enfin, une statine est recommandée après 50 ans si MRC notamment si DFG < 60ml/min.
2024: Le BMJ a publié une recommandation pratique sur l'utilisation des iSGLT2 dans la maladie rénale chronique, dépendant du DFG et du rapport albumine/créatininurie (RAC).
En suivant les flèches sur la figure ci-dessus, vous avez des profils
de patients qui conduisent à 4 catégories de bénéfices: "faible", "modéré",
" élevé" et "très élevé" (par exemple, un patient avec "DFG > 60" et "RAC
> 30" donne un bénéfice de traitement "élevé"). Voici à quoi
correspondent ces bénéfices en termes chiffres absolus :
- Bénéfice faible: NNT pour la mortalité = 143 à 5 ans
- Bénéfice modéré: NNT pour la mortalité = 77 à 5 ans
- Bénéfice élevé : NNT pour la mortalité = 42 à 5 ans, pour la mortalité cardiovasculaire=167, pour les évènements cardiaques non fatals = 48.
- Bénéfice très élevé: NNT pour la mortalité = 21 à 5 ans, pour la mortalité cardiovasculaire = 100, pour les évènements cardiaques non fatals = 32, pour l'insuffisance rénale = 18, pour l'insuffisance cardiaque = 40.
- Risques chez ces patients "non diabétiques" : pas de sur-risque d'acidocétose, de fracture, d'infection génitale, d'amputation, de dialyse ou d'hypovolémie symptomatique.
2023: La HAS a mis a jour son guide du parcours de soins du patient atteint de maladie rénale chronique qui datait de 2021 (cf ici). En pratique, il n'y a quasiment aucune modification pour les parties concernant la médecine générale. Il est ajouté qu'en cas d'échec du traitement par IEC/ARAII pour contrôler la PA et la protéinurie, une intensification par gliflozine ou agoniste non stéroidien des minéralocorticoïdes (Finerenone) est à discuter et un avis cardiologique ou néphrologique doit être pris. Cela va fortement ralentir la prise en charge alors que les gliflozines sont aisément accessibles et utilisables en médecine générale. Concernant l'utilisation de produits de contraste iodés, les auteurs recommandent un contrôle à 48h du DFG et de ne réintroduire les traitements interférants (IEC/ARAII, gliflozine, diurétiques) qu'après s'être assuré de l'absence d'aggravation. L'hyperkaliémie liée aux traitements est à considérer à partir de 5.5mmol/L prélevé sans garrot, et une hospitalisation est recommandée à partir de 6mmol/L (ce qui est plus strict que les recos britanniques disant: à 6mmol/L, on arrête le traitement, et on fait un ECG).
2022: Le KDIGO, société savante de néphrologie a mis à jour ses recommandations dans la prise en charge du diabète avec maladie rénale chronique (MRC). Il n'y a quasiment pas de différences avec leurs recos de 2020 (cf ici). On notera qu'ils recommandent pour tout patient diabétique avec MRC (DFG<60 ou Rapport A/C > 3mg/mmol ou > 30mg/g) une bithérapie par metformine (si DFG>30) et inhibiteur de SGLT2 (si DFG>20) avec ajout d'analogue du GLP1 si l'objectif glycémique n'est pas atteint. En parallèle, un traitement par IEC ou ARA2 est recommandé si albuminurie ET hypertension artérielle. Si l'albuminurie persiste malgré une dose maximale d'IEC/ARA2 et que le potassium est normal, un traitement par antagoniste des récepteurs aux minéralocorticoides non stéroïdiens (Finerenone notamment) est indiqué devant un bénéfice sur la progression de la MRC et sur les évènements cardiovasculaires. En plus, un traitement par statine chez tout patient diabétique avec MRC. Enfin, les auteurs marquent leur divergence avec les recommandations de l'ADA, en recommandant une cible d'HbA1C entre 6,5% et 8% (et non à 7%)! (Et un petit rappel sur l'efficacité des antidiabétiques).
[Edit:] Ajout de la publication complémentaire: les aGLP1 peuvent être prescrits préférentiellement au iSGLT2 si diabète + néphropathie + obésité, les iSFLT2 peuvent être utilisés jusqu’à 20mL/min de DFG et on peut même continuer plus bas si c'est bien toléré.
2021: La HAS a publié une mise à jour des recommandations sur l’insuffisance rénale chronique. Un des premières modifications est la suppression de l’âge supérieur à 60 ans dans les facteurs de risque devant conduire à un dépistage. Les autres facteurs de risque décrits ici sont maintenu et le dépistage se fait par mesure de la créatininémie et du rapport albuminurie/créatininurie (RAC). Le déclin de DFG physiologique est de 2ml/min/an, il est modéré entre 2et 5ml/min/an et rapide au-delà de 5ml/min/an. Pour la 1ère fois le score KFRE est recommandé et un risque de déclin rapide > 3% doit conduire à adresser au spécialiste (on en avait parlé ici). Le suivi peut être assuré par le généraliste pour les DFG >45ml/min, stable et sans complication (ou jusqu’à 20ml/min chez le sujet âgé). Les auteurs recommandent l’utilisation de la formule CKD-EPI pour adapter les posologies des traitements. Sur le plan thérapeutique, les auteurs recommandent d’introduire un IEC ou un ARA2 pour obtenir une TA < 140/90 et même de viser < 120mmHg de PAS (sauf si diabète, âge >90 ans, protéinurie >1g, DFG<20ml/min ou PAD< 50mmHg). L’IEC et l’ARA2 sont également recommandé dès 120mmHg si RAC > 300mg/g ou >30mg/g si diabète. L’atorvastatine est la statine recommandée chez tous les patients de plus de 50 ans lorsque le LDL est > 1,9g/L. Enfin, voici le tableau de suivi :
2021: Le NICE britannique a publié des recommandations concernant la prise en charge de l'insuffisance rénale chronique. Le dépistage est recommandé en cas de diabète, HTA, maladie cardiovasculaire, pathologie des voies urinaires, antécédent familial de maladie rénale, goutte, antécédent d'insuffisance rénale aigüe. Les auteurs recommandent d'évaluer l'insuffisance rénale chronique par le dosage de la créatinine en utilisant la formule CKD-EPI et la mesure du Rapport Albuminurie/Créatininurie (RAC >3: microalbuminurie, >30: albuminurie). Une échographie rénale est indiquée si progression, symptômes obstructifs, hématurie, DFG < 30, antécédent familial de PKAD. Les indications d'adressage à un néphrologue sont plus claires dans cet article, mais c'est globalement les mêmes.
2021: Le KDIGO a proposé des recommandations concernant l'HTA chez les patients avec insuffisance rénale. Le dépistage s'effectue par des mesures standardisées au cabinet suivies de mesures ambulatoires. Les cibles tensionnelles proposées sont de 120mmHg en s'appuyant essentiellement sur l'étude SPRINT... Ils recommandent des IEC ou ARA2 chez les patients avec HTA et insuffisance rénale et albuminurie (diabétique ou non). Il n'y a pas de recommandations en l'absence d'albuminurie. Ils prônent également une restriction sodée importante à 2g de sodium/jour (soit 5g de chlorure de sodium.)
2020: Des recommandations internationales
ont été publiées par le KDIGO concernant le rein et le diabète. Pour
mémoire, la norme d'albuminurie c'est < 30mg/24h ce qui correspond à
< 3mg/mmol ou < 30mg/g et l'albuminurie sévère c'est >
300mg/24h ce qui correspond à > 30mg/mmol ou > 300mg/g (entre les 2
c'est modéré).
La metformine est recommandée si le DFG-estimé est supérieur à 30ml/min. La surveillance de la fonction rénale doit être annuelle si le DFG-estimé est normal ou plus souvent si abaissé. Le dosage la vitamine B12 est recommandé annuellement si la metformine est prise depuis plus de 4 ans.
Un traitement par IEC ou ARAII à la dose maximale tolérée est recommandé si diabète, hypertension chez les patients avec un DFG < 60mL/min ou avec albuminurie depuis plus de 3 mois (ils ne privilégient pas une classe ou une molécule). Voici l'algorithme intéressant pour adapter les doses qu'ils proposent:
Côté règles diététiques, ils recommandent moins de 2g de Na par jour ou moins de 5g de sel (NaCl), et d'avoir une activité physique d'intensité modérée (2h30/semaine).
Viennent
ensuite des objectifs glycémiques à placer entre 6,5% et 8% selon les
patients. On en a déjà parlé, les molécules utilisées sont plus
importantes que les objectifs... et ils sont d'accord car ils proposent
en 1ère ligne: bithérapie metformine +inhibiteur de SGLT2 systématique
tant que le DFG-e > 30mL/min, et si un de ces traitement ne peut plus
être utilisé ou si la bithérapie est insuffisante, ajouter un analogue
du GLP-1 préférentiellement à un autre antidiabétique. Ce récent billet
de Perruche confirme bien la place des iSGLT2 dans cette stratégie.
Je finirais par cette roue des traitements antidiabétiques qui montre les traitements à préférer et à éviter selon les comorbidités du patients (il manque juste les iSGLT2, car ils n'étaient pas disponible au moment de la création de cette roue, je pense)
Le BMJ publie une synthèse concernant la prise en charge de la maladie rénale chronique. Il n'y a rien de très novateur. Il est recommandé d'adresser au néphrologue quand le score KFRE est > 2% à 2 ans, ce qui est un seuil particulièrement vite atteint en fait. La prise en charge est relativement simple à réaliser en ambulatoire: 1/ vaccination pneumocoque et grippe, éviter les médicaments néphrotoxiques (AINS++). 2/ contrôle tensionnel, contrôle glycémique, contrôle du risque cardiovasculaire, exercice physique, régime méditerranéen. 3/ éducation aux risques et éventuellement conseil génétique 4/ utilisation des traitements spécifiques: IEC ou ARAII à poursuivre quel que soit le DFG car bénéfice sur la mortalité même en cas d'IR sévère, les ISGLT2 en bithérapie avec les bloqueurs du SRA, les aGLP-1 (non indiqués en l'absence de diabète actuellement), les antagonistes non stéroidiens des minéralo-corticoïdes (spironolactone, éplérénone et surtout finérénone), et enfin les antagonistes des récepteurs de l'endothéline (dont on a parlé la semaine dernière).
- créatininémie, urée, albuminurie/créatininurie (ils ne parlent trop de protéinurie/créatininurie), kaliémie, NFS, EAL, recherche de diabète, albuminémie, calcémie corrigée, phosphore, bicarbonates, PTH, vitamine D
- échographie urinaire et ECBU (pour la recherche d'hématurie et d'infection urinaire, mais probablement qu'une bandelette peut être suffisante dans certains cas)
Une question que l'on se pose parfois est: que mesurer pour estimer l'atteinte rénale dans les maladies cardio-vasculaire. Jusque là, la microalbuminurie était réservée au diabétique. Cependant, d'après cet article, l'étude de l'albuminurie/créatininurie combiné à l'estimation du DFG serait utile en terme de prédiction de risque cardio-vasculaire. Il reste encore à connaitre les implications en pratique clinique...
Il y a longtemps, une étude supposait que l'allopurinol pouvait ralentir la progression de la maladie rénale chronique, mais ce n'était pas très clair. Cet essai contrôlé randomisé du NEJM incluant des patients avec un DFG moyen de 31ml/min n'a pas retrouvé de bénéfice au traitement par allopurinol sur le déclin de la fonction rénale évalué à 2 ans.
Voici un article concernant la dialyse. Peu utile en médecine générale, mais la figure des différents schémas peut être utile pour ré-expliquer au patient. Il n'y a pas de seuil clair de DFG pour débuter (pas de différence de mortalité quand débuté à 10-15ml/min vs 5-7ml/min), ce sont les symptômes, la fatigues et le ionogramme qui vont déterminer le moment de l'initiation. Il faut bien sur penser à éviter les traitements néphrotoxiques (notamment AINS) et adapter les posologies des traitements. Les auteurs précisent que malgré le risque cardiovasculaire plus élevé, il n'y a pas d'intérêt à prescrire une statine en prévention primaire si dialyse en l'absence d'autre indication (1 ECR, négatif, mais c'était avec rosuvastatine...). Pour l'hypertension, la cible est de 130mmHg avant 65 ans, et 140mmHg après, avec les IEC/ARAII et BB- non dialysables en 1ère intention et inhibiteurs calciques en 3ème ligne, puis la spironolactone (très faible niveau de preuve de tout ça). La vitamine D est recommandée pour obtenir un équilibre calcique et métabolique, mais pas de différence sur la survie. Enfin, concernant l'anémie, l'EPO ou le fer est indiqué si Hb < 10g/dL.
Le JAMA aborde la polykystose rénale autosomique dominante (PKAD) . Elle se caractérise par des kyste rénaux (>10) et des reins de plus de 13cm (alors que les polykystoses acquises montrent des reins atrophiés <10cm). Des kystes hépatiques sont également présents chez 90% des patients et 10% ont des anévrismes cérébraux. Pour le diagnostic, l'échographie (notamment chez l'enfant) ou l'IRM sont proposés (sachant que l'IRM détecte mieux les petits kystes). En cas de forme typique, il n'est pas nécessaire de faire le test génétique. Le principal risque est néphrologique avec 50% de dialyse à 60 ans et le risque est évaluer par le PROPKD Score. Le traitement repose essentiellement sur des RHD (hyperhydratation avec 2,5L/j , objectif IMC < 25, pas d'alcool ni tabac, activité physique, pas d'AINS...) , un contrôle tensionnel parfait ( <110/75 avant 50 ans et < 120/80 après 50 ans) notamment avec IEC/ARAII. Le tolvaptan est un traitement spécifique réduisant la dégradation néphrologique. Concernant les anévrismes cérébraux, un dépistage est recommandé, mais une IRM normale ne prédit pas de la survenue ultérieure d'anévrismes (le rythme d'un éventuel dépistage n'est pas détaillé). Enfin, le dépistage chez les membres familiaux est recommandé à l'âge adulte (donc à 18 ans), plutôt par IRM qu'échographie selon les auteurs. Cependant, un suivi tensionnel est nécessaire chez les enfants et adolescents car 30% ont de l'HTA juvénile.
Insuffisance rénale aiguë
Syndrome néphrotique
- Créatininémie, ionogramme sanguin, albuminémie, exploration d’anomalies lipidiques, protéinurie des 24 heures, rapport protéinurie/créatininurie sur échantillon, ECBU, tous les 3 mois.
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